Votre question :
Bonjour Monsieur,
Je travaille comme commise de cuisine depuis 4 ans dans un centre scolaire, et je suis en arrêt de maladie depuis 3 mois car ce métier me fait souffrir mentalement et physiquement, mais c'était au départ un job "alimentaire".
J'ai dans le passé occupé différents postes dans l'administratif, le commerce la restauration pendant 8 ans et pour finir, je me retrouve à charger des poubelles d'une cuisine collective. Que faire quand on a un BEP de commerce et un niveau bac littéraire qu'on repasse cette année via le Cned pour entamer un grand virage professionnel ?
J'ai des compétences littéraires que j'ai négligées depuis des années mais comment rattraper le temps perdu quand on a un cursus instable professionnellement ? Je cherche à rentrer dans l'univers de la presse écrite en parallèle de mes études, mais comment y parvenir même par la petite porte et avec mon tout petit niveau d'aujourd'hui ?
Comment écrire une lettre alléchante à un directeur de presse et obtenir un poste comme simple secrétaire en attendant la fin de mes études ? Excusez-moi j'ironise un peu mais c'est frustrant même si l'on se dit autodidacte. J'ai besoin de vos lumières et vous remercie par avance.
Cordialement,
Sylvie
Ma réponse :
Bonjour Madame,
Si vos compétences littéraires sont réelles, la meilleure (et seule !) façon pour vous d'attirer l'attention d'un patron de presse quand on n'a ni le diplôme ni l'expérience est de lui envoyer 1-des propositions de sujets adaptées à son support et 2-un ou deux articles rédigés et adaptés à son support.
Une telle démarche nécessite un travail préalable important : identification des sujets potentiellement intéressants et non traités pour le support en question et rédaction desdits sujets.
Je vous souhaite bonne chance et bon courage dans vos démarches, gardez surtout confiance en vous et tenez bon le cap.
Bien sincèrement,
Gilles Payet
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