Questions d'emploi

5 astuces pour arriver en pleine confiance le jour de ma prise de poste

Dans les jours qui précèdent une prise de poste, je peux me mettre à douter.

⚉ Vont-ils être sympas avec moi ?

⚉ Vais-je être à la hauteur ?

⚉ Serai-je autonome rapidement ?

⚉ Et si cela se passe mal, saurai-je rebondir ?

Etc.

Autant de questions (sans réponse) qui peuvent mettre à mal ma confiance en moi.

Et faire monter aussi le stress.

Voici 5 conseils et astuces pour doper votre confiance en vous 

1. Je me rappelle que j'ai été choisi(e) - et je fais la liste de mes atouts pour ce poste = qualités, compétences, connaissances, expériences, réussites...
2. Je relis l'offre d'emploi et me visualise avec succès au poste : en position assise ou allongée, je ferme les yeux, et je me visualise réalisant chacune des tâches demandées.
3. J'actualise mes connaissances sur l'entreprise, son actualité, ses réalisations, ses dirigeants, les futurs collègues, les concurrents de l'entreprise, ses produits et services...
4. Si je pense que c'est une bonne idée, je fais le trajet de mon domicile jusqu'à mon futur lieu de travail, je fais un tour dans le quartier, j'optimise le trajet, je me projette dans le poste. Et je me rassure.
5. Je profite de ce temps qui me reste pour actualiser mes connaissances sur les outils de travail (logiciels...), éventuellement je prévois un temps de formation complémentaire.

L'idée ?

Rester proactif.

Et proactive !

En créant un sas de préparation mentale positive.

Et en occupant votre temps avec des pensées et actions sur lesquels vous avez du pouvoir.

Si vous pensez que cet article peut aider quelqu"'un de votre entourage, partagez-lui ?

 

Bon courage dans vos démarches.

Ne baissez jamais les bras.

Gardez toujours à l'esprit qui vous êtes.

Avec vos qualités, vos compétences, vos talents, vos aptitudes & vos réussites !

Gilles Payet

Pour passer à l'action, me contacter, bénéficier de mon aide concrète : Moncoachingemploi.fr

Le nouveau "Service civique" sera-t-il utile à mon enfant pour décrocher un travail ?

 

Votre question :

Bonjour Monsieur Payet,

Mon fils Romain galère vraiment pour trouver un travail. A 20 ans, il n'a que son bac en poche et ne trouve pas d'employeur.

J'ai entendu parler du Service civique pour les jeunes. De quoi s'agit-il ? Cette expérience pourra-t-elle lui servir pour décrocher un emploi ?

Merci par avance d'éclairer ma lanterne... bien terne !

Danièle

Ma réponse :

Bonjour Madame,

Le service civique est un contrat d'engagement à durée déterminéee (6 à 12 mois) assorti d'une mission d'intérêt général au service d'une collectivité. Ce contrat (doté d'une une aide comprise entre 540 € et 640 €/mois) est signé entre une personne et une structure agréée par l'Agence du Service civique (présidée par Martin Hirsch).

Cette structure peut être une association, une fondation, une organisation non gouvernementale à but non lucratif, ou un organisme public : collectivités locales (régions, départements, communes), un établissement public ou une administration de l’Etat.

Pour répondre à votre question, et même si l'esprit du service civique est de donner corps à des initiatives citoyennes (et en celà elles visent prioritairement les jeunes de 16 à 25 ans - mais concernent aussi tout le monde), être encadré (un système de tutorat est mis en place) dans le cadre d'un tel projet peut donner une première expérience de vie professionnelle à votre enfant.

Elle lui apprendra aussi tout ce qu'une première expérience apprend : horaires de travail, vie collective, travail en équipe et en autonomie, utilisation d'outils de travail spécifiques, etc.

A noter : le dispositif est très récent (l'Agence a été créée par décret le 12 mai 2010) et les annonces de service civique sont encore peu nombreuses (10.000 sont annoncées d'ici la fin de l'année 2010). Il faut un peu de temps au système pour se mettre en place - et notamment d'agréer toutes les structures souhaitant proposer de smissions dans ce cadre là ! 

Pour faire votre recherche de missions, Romain peut utiliser le moteur de recherche de l'agence du service civique : cliquez ici pour le découvrir. Dernière précision utile : les missions locales (pour les jeunes de 16 à 25 ans) sont mobilisées également sur ce sujet et sont en capacité de guider Romain dans ses démarches. Pour contacter la mission locale la plus proche de votre domicile : cliquez ici.

Bon courage dans vos démarches et bonne chance à votre fils Madame.

Bien sincèrement,

Gilles Payet

A 25 ans, une licence d'arts en poche mais sans emploi, quel concours passer pour décrocher un job ?!

Votre question :

 

Bonjour Monsieur Payet.

 

J'ai besoin de votre aide car à 25 ans je ne suis toujours pas entré RÉELLEMENT et DURABLEMENT dans la vie active ...

 

J'ai un bac Littéraire et ai fait une licence d'arts pour travailler dans le milieu culturel mais la précarité que je ne soupçonnais pas aussi présente dans ce milieu et le manque de débouchés m'ont donné envie d'abandonner les recherches d'emploi dans ce domaine qui ont été un échec cuisant.

 

J'ai ensuite, au bout d'un an de chômage, suivi une formation d'aide-soignant pour avoir cette fois-ci une garantie d'emploi stable mais j'ai été très déçu par ce métier et je ne m'y suis absolument pas retrouvé.

 

Au final je ne serai pas diplômé dans ce milieu là, j'ai une licence qui ne m'a jamais servi quasiment, sauf pour travailler une semaine en école maternelle.

 

J'aimerais tenter des concours administratifs de catégorie C car je ne me sens pas du tout capable de rédiger une note de synthèse ou d'étudier du droit ou de l'économie niveau bac minimum.

 

Le souci est qu'avec mes centres d'intérêts et mon cursus je ne sais pas trop vers quel type de concours m'orienter pour espérer trouver un métier dans lequel je me retrouve car je ne veux pas abandonner l'idée de faire un métier qui m'épanouisse.

 

Je vous remercie pour votre blog par ailleurs.

 

Bien à vous.

 

Damien

 

 

Ma réponse :

  

Monsieur,
Votre licence vous permettrait de postuler à des concours de catégorie A et de niveau II. Je vous conseille donc de ne pas vous fermer de porte en réduisant votre champ de vision aux uniques concours de catégorie C.
 
Ce qui doit guider votre réflexion :
- vos envies
- vos capacités
- les débouchés (offres concrètes de postes)
 
Epluchez 100% des concours existants et identifiez pour chacun si vous arrivez à cocher les trois catégories ci-dessus. Pour chaque concours retenu, définissez un ordre de priorité et préparez-les avec le plus grand sérieux et la plus grande implication (au moins 8 heures de travail par jour). En procédant ainsi, vous mettrez le maximum de chances de votre côté.
 
Je finalise actuellement la rédaction d’un guide sur la préparation mentale pendant la recherche d'emploi (qui s'appliquerait aussi tout à fait à votre situation) et qui sortira le 23 septembre prochain. Beaucoup de conseil et des méthodes sur la préparation mentale, physique, gestion active du temps, etc. Il pourra vous être utile.
 
D'ici là, faites le travail décrit ci-dessus - il vous conduira sur la bonne voie (prévoir 18 mois avant le premier poste).
 
Bonne chance et bon courage dans vos démarches, gardez surtout confiance en vous et tenez bon le cap.
Bien sincèrement,
Gilles Payet



 

 

A 23 ans, et après un long congé maladie, comment revenir sur le marché de l'emploi ? Je souhaiterais intégrer un IME...

  

Votre question :

  

Bonjour,
 
Je vous écris dans l'espoir que vous pourrez m'éclairer quant aux démarches à suivre dans ma situation.

Pour résumer, j'ai 23 ans et je sors d'un long arrêt maladie. J'ai dû interrompre mes études alors que j'étais encore au lycée et par conséquent je n'ai à ce jour aucun diplôme en ma possession (mis à part le Brevet des Collèges).

Je souhaite intégrer une formation de Moniteur Éducateur, et donc passer le concours cette année. Cependant, je dois absolument trouver un emploi en attendant une éventuelle entrée en formation.

Je suis assise à mon bureau et je tente de rédiger une lettre de motivation pour postuler spontanément au sein d'un IME (institut médico-éducatif) en tant que candidat au concours de Moniteur Éducateur.

Le problème étant, qu'à cause de mon arrêt maladie, je suis confrontée à un manque cruel d'expérience et j'ai un énorme trou dans mon parcours. Je suis en revanche extrêmement motivée et sûre de mon choix d'orientation professionnelle. Je ne souhaite pas non plus devoir me justifier quant à mon arrêt maladie.
 
J'aurais espéré que vous puissiez me donner quelques conseils pour la rédaction de la lettre de motivation.

En sachant que d'après mes renseignements seulement quelques rares structures acceptent d'employer des candidats aux concours du social, il faut donc que ma lettre soit extrêmement motivée et attire réellement leur attention.
 
Désolée de la longueur de ce mail. Je vous joins mon CV pour que vous puissiez avoir un aperçu.

Merci beaucoup pour votre gentillesse.
 
Coralie
 
 
PS: comme vous pourrez le constater, j'ai passé le concours l'an dernier et j'ai été admise. Cependant j'ai dû me désister à la dernière minute pour cause de problèmes personnels. J'ignore si je dois le mentionner dans ma LM…

  

Ma réponse :

  

Bonjour Mademoiselle,
Votre CV est très bien et plutôt que l'envoi d'un courrier en candidature spontanée, je pense que des entretiens téléphoniques seraient plus efficaces pour 1-valider si l'Institut médico éducatif recrute et 2-connaître les bons contacts et 3-la marche à suivre pour l'envoi d'une candidature.
 
Vous vous dites motivée, sûre de votre choix professionnel, tous ces éléments passeront bcp mieux et + facilement si vous les exprimez oralement que par écrit. L'avantage d'un entretien téléphonique est que vous parlerez à la bonne personne (celle qui prend la décision de l'embauche ou non) et que vous aurez l'info tout de suite.
 
Pour connaître les coordonnées des IME les + proches (il faudra en contacter un certain nombre) de votre domicile : cliquez ici

 
Exemple d'argumentaire téléphonique :

"Bonjour, étudiante sur un cursus de Moniteur Éducateur je recherche un poste au sein de votre établissement. Pourriez-vous me préciser vers qui je pourrais me tourner afin de formuler ma demande.

 

>> Oui il s'agit de Madame xxx.

Pourriez-vous s'il vous plaît me donner ses coordonnées téléphoniques/le numéro de son poste/me la transférer ?

>>>Oui les voici...

Bonjour Madame, étudiante en xxx + reprendre ici votre présentation...
 
Bonne chance et bon courage dans vos démarches, gardez surtout confiance en vous et tenez bon le cap.
Bien sincèrement,
Gilles Payet

Quel intérêt y-a-t-il à être présent sur les réseaux sociaux Facebook, Viadeo, LinkedIn, Twitter ?

  

Ma question :

  

Bonjour Gilles,

Tout le monde ne jure que par Twitter, Viadeo ou Facebook !

 

Quel intérêt y a-t-il à être présent sur ces réseaux ? J'ai le sentiment que l'on perd pas mal de temps pour un retour somme toute très peu concret...

 

Beaucoup de marketing mais concrètement peu de résultats en terme d'entretiens ou de recrutement !

 

Avez-vous un avis sur la question ?!

 

Merci pour votre retour,

John, un lecteur anglais travaillant à Paris !

 

Bonjour Monsieur,

  

Bonjour John,

 

Faut-il être présent sur les réseaux sociaux du moment ? Du point de vue du recrutement, ou de la dynamique de la recherche d'emploi, avoir un compte Viadeo ou LinkedIn (gratuit pour le premier niveau d’abonnement) vous apportera une visibilité ainsi qu’une possibilité d’échanges entre membres du réseau concerné.

 

Intéressant aussi : ces échanges sont aussi une façon pertinente de briser la solitude liée à la recherche d’emploi. Vous pouvez d’ailleurs, au sein d’un même réseau, vous abonner à des groupes de discussion thématique (sur un centre d’intérêt, un métier, un secteur).

 

Vous serez en outre destinataire de certaines offres de recrutement diffusées via ces réseaux. Certains recruteurs trouvent ainsi leurs futurs collaborateurs en faisant une recherche par mots clés sur le réseau concerné. Une fois un profil intéressant identifié, ils entrent en contact directement par mail. Facebook offre le même type de possibilités d’échanges mais est plutôt destiné à un champ d’expression personnel. Je dirais que ce réseau est moins pertinent pour cela.

 

Quant à Twitter, le dernier réseau « à la mode », sa fonction est très différente puisque sur ce réseau vous êtes émetteur d’informations (les « tweets ») que vous diffusez sur votre page Twitter (ces mêmes informations étant lues par les personnes abonnées à votre compte). Si vous êtes un expert d’un sujet en particulier, il peut être tout à fait pertinent de créer un compte (gratuit) et de publier vos informations (en un maximum de 140 caractères, le principe du site).

   

En faisant ainsi, votre expertise sera vue, sera lue, vous générerez des abonnements à vos tweets et serez ainsi visible auprès des recruteurs qui investissent aussi ce réseau social pour repérer des profils bien spécifiques.

 

Attention : sans expertise ni pertinence particulière, je vous déconseille en revanche de « tweeter » car ce n’est jamais un bon pari que de rendre publique une partie de soi moins valorisante (mais bien visible) sur Internet !

 

Sur la question de l'optimisation de votre temps, il faut effectivement hiérarchiser vos actions :

- priorité à la réponse aux offres

- priorité aux candidatures spontanées intelligentes, celles qui proposent une vraie offre de service

- priorité au référencement de votre CV dans les CVthèques existantes

 

S'il vous reste un peu de temps : créez un profil Viadeo et LinkedIn (travail one shot, réalisé en une heure chrono max et ne nécessitant pas ou peu d'actualisation). Utilisez ces plates-formes pour trouver de l'info pertinente pour votre recherche. Utilisez-les aussi pour nouer des contacts et échanges utiles avec d'autres personnes en recherche d'emploi (effet du groupe, soutien moral, ressource utile et complémentaire de son réseau classique, lorsque le moral est un peu en berne !).

 

Pour le reste, aucune obligation : créez un blog si vous avez des choses à dire et que vous le dites bien (pertinence, orthographe...). Suivez les experts twitter qui vous apportent des infos utiles. Et publiez-en à la réserve près faite un peu plus haut !

 

Voilà pour l'essentiel John !

 

Best regards,

Gilles Payet

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Gilles Payet ///coach bénévole depuis 13 ans, spécialisé dans l'accompagnement au retour à l'emploi

Etudiante dans une filière "création et conception textile" à Lyon, je pense arrêter mes études. Comment rebondir après cet échec ?

  
Votre question :

  

Bonjour Monsieur Payet,
Je suis actuellement étudiante en diplôme supérieur d'arts appliqués (DSAA) "créateur concepteur textile" à Lyon.

Cette formation permet d'étudier et de concevoir des projets de design et repose également sur un enseignement et des pratiques en technologie textile. Ces études se déroulant en deux ans, je commence à peine ma deuxième année dont la rentrée était début octobre.

Lors de la fin de la première année, des périodes de stage m'ont permis d'explorer pendant trois mois le domaine de la communication de presse (dans les domaines de la mode, du design et des arts), domaine dans lequel je souhaite engager ma future vie professionnelle.

Sans entrer dans les détails (ni vous ennuyer !) je ne souhaite pas, pour de nombreuses raisons, terminer ma formation, qui aujourd'hui ne correspond plus à mes attentes en tant que future professionnelle.

J'aimerais donc savoir si, en quittant ma formation, je peux trouver un organisme qui me fournira une/des convention(s) de stage car c'est par ce type d'expérience que je souhaite alimenter mon CV et trouver ensuite un emploi…

Si je n'ai pas de convention, comment convaincre une entreprise de m'accepter tout de même en stage ?

Sur Internet, j'ai pu lire l'article suivant :

"Le texte visant l'interdiction des stages hors du cursus pédagogique a été adopté par le Sénat le mercredi 23 septembre 2009. Désormais, « les stages sont intégrés à un cursus pédagogique, selon des modalités définies par décret ». Le but étant de s'assurer que « les stages suivis par les étudiants soient en lien avec leur formation ». L'amendement modifie ainsi la loi du 31 mars 2006 pour l'égalité des chances. Par ailleurs, le décret rappelle qu'un stage d'une durée de plus de 2 mois doit faire l'objet d'une gratification (fixée soit par convention de branche, soit par accord professionnel ou, à défaut, par décret)"

Est-il aujourd'hui vraiment impossible d'obtenir une convention ?

Merci beaucoup pour votre réponse.

Cordialement,
Nathalie

PS : j'ai été agréablement surprise par votre démarche d'aide concernant les questions d'emploi, je tiens à vous féliciter pour ce travail.

 

Ma réponse :

  

Bonjour Mademoiselle,

Au risque de vous décevoir, je vous conseillerais plutôt de terminer votre année d'étude et décrocher ce premier diplôme qui vous ouvrira plus de portes que vous ne le pensez - y compris dans la perspective de modifier votre parcours pro.

Cela ne modifie pas votre projet, il le décale tout au plus d'une année (6 mois), vous permettra de le mûrir sérieusement, de rencontrer des gens, de valider que celui-ci correspond à une vraie demande du marché (avec des embauches) et pourquoi pas de refaire un stage avec une promesse d'embauche.

Pour vous répondre sur la convention de stage, oui il faut un accord tripartite en vous, l'établissement scolaire/universitaire et l'entreprise concernée. Vous ne pouvez donc pas décrocher un stage sans convention avec votre établissement universitaire. Dans tous les autres cas il s'agit d'un contrat de travail classique.

Bon courage dans vos démarches. Vous êtes jeune, et pouvez vous permettre qq hésitations dans votre formation mais s'il vous plaît décrochez ce premier diplôme avant de prendre une voie un petit peu incertaine et qui nécessite à coup sûr un peu + de temps de réflexion et d'étude.

Bien cordialement,
Gilles Payet

A 25 ans, sans diplôme ni expérience, comment convaincre une entreprise de me prendre en contrat de professionnalisation ?!

  
Votre question :

  

Bonjour Monsieur Payet ,
 
Je souhaite trouver un contrat de professionnalisation en BTS professions de l'immobilier et je n'arrive pas a rédiger une lettre de motivation digne de ce nom.
 
J'ai 25 ans, pas de diplôme et aucune expérience dans cette profession. J'ai cumulé des emplois en restauration ou en tant qu’auxiliaire de vie mais ces jobs ne m'apportent aucune satisfaction mis à part le contact avec les gens que je rencontre.
 
Pourriez-vous me donner quelques idées pour réussir cette lettre ? Ce projet professionnel me tient à cœur.
 
Par avance merci.

Alexia

Ma réponse :

  

Bonjour Mademoiselle,
Regardez sur le blog dans la rubrique "lettre" je crois me souvenir qu'il y a un ou deux modèles de demande de contrat ou de stage proche de votre besoin.

Mais plus qu'une lettre je vous conseille surtout de décrocher votre téléphone afin de contacter les entreprises : agences immobilières ? Syndics ? Autres ? Savez-vous quels types d'entreprises vous visez ?

Cette méthode d'approche directe sera bcp + efficace.

Exemple de discours :

"Bonjour, je m'appelle xxx et suis un BTS xxx dans le cadre d'un contrat de professionnalisation qui présente bcp d'avantages pour votre entreprise.

Parmi ceux-ci xxx, xxx et xxx

Auriez-vous un peu de temps pour en discuter ?

Accepteriez-vous de me rencontrer afin que je puisse me présenter et voir ensemble comment je pourrais répondre à vos besoins ?

Disponible, je m'adapterai à vos contraintes d'emploi du temps"

Bon courage dans vos recherches Mademoiselle.

Gilles Payet

Est-il gênant d'envoyer plusieurs candidatures, pour plusieurs postes, au sein d'une même entreprise ?

   

Bonjour,

J'ai déjà pu trouver de bons conseils sur votre blog mais je rencontre un problème récurrent. Peut-être pourrez-vous m'aider ?

 

Tout d'abord, je suis actuellement en dernière année d'école d'ingénieurs généraliste. D'autre part, je réalise un Master de conception et fabrication de circuits électroniques en Écosse en même temps que ma dernière année. Je recherche donc un stage de fin d'études de 6 mois.

  

De nombreuses offres m'intéressent particulièrement, et notamment dans le domaine aéronautique qui me passionne. J'ai postulé chez certains très grands groupes tels que Thalès ou Sagem mais ceux-ci proposent un très grand nombre d'annonces auxquelles je peux répondre.

  

J'ai répondu aux offres par Internet mais aussi par courrier en essayant d'envoyer une demande par site. Mais je me demande à l'heure actuelle si je ne ferais pas mieux de répondre à toutes les offres qui me plaisent et que je suis capable de mener.

  

Le problème est le suivant : si j'envoie un courrier par annonce, les ressources humaines vont recevoir une douzaine de lettres de ma part. Même si celles-ci différent légèrement, le style est le même, car je ne fais que changer les qualités auxquelles je réponds. Que dois-je faire ? Dois-je me contenter d'une ou deux offres par site ou dois-je envoyer un grand nombre de lettres en risquant éventuellement de faire mauvaise impression ?

  

Un grand merci par avance pour votre réponse !

Cordialement,

Benoît

 

 Ma réponse                                                                                                           

Bonjour Benoît,

 

Pas de réponse toute faite à votre question mais une posture de bon sens !
 
Votre objectif ? Être vu, être lu et convaincre !
 
Que risquez-vous à répondre à toutes les offres d'une même entreprise ? Franchement pas grand-chose car en demandant un stage de fin d'études, un service RH comprendra bien que votre champ de recherche est large et qu'il peut concerner plusieurs postes de leur société.
 
Foncez et répondez à chacune des offres comme s'il s'agissait d'un interlocuteur différent : pensez au fait que si le contact RH est le même (mais ce n'est pas certain, les services RH des grandes entreprises sont affectés à tel ou tel département ou service), le destinataire final (manager) sera lui très vraisemblablement différent ! Pensez à ce dernier (et non à l'interlocuteur RH) lorsque vous rédigerez vos courriers.
 
Bonne chance et bon courage dans vos démarches.

Bien sincèrement,
Gilles Payet

Etudiant en dernière année à Sciences Po (province), je constate avec effroi que je me suis trompé d'orientation...

  

Votre question :

  

Bonjour,

Je vais bientôt terminer mes études au sein d'un Institut d'Etudes Politiques de province.

Je devrais rentrer sur le monde du travail prochainement, mais je me rends compte que mon profil ne me permet pas de postuler pour la moindre offre d'emploi. Tout au long de mon master je me suis laissé bercer par l'illusion de devenir "réalisateur documentaire", ce qui m'a poussé à effectuer des choix catastrophiques, en particulier concernant mon stage de fin d'études.

 

Je suis donc aujourd'hui en train de redéfinir mon projet professionnel, sans doute vers la coopération internationale, bien conscient que j'aurai dû effectuer cette réflexion il y a de cela des années.

  

J'aurais aimé avoir votre avis au sujet de mon parcours. Je suis en effet dans une démarche de dévalorisation totale de mes acquis, et j'aurais voulu avoir un avis extérieur sur la question.

Je vous remercie d'avance pour votre attention,

Très cordialement,

Emmanuelle

  

Ma réponse :

  

Bonjour Madame,
Première chose : vous êtes jeune, et l'avenir vous appartient vraiment ! Si besoin, vous avez aussi le temps de redéfinir une éventuelle réorientation, ou à une formation complémentaire.
 
La vraie question n'est pas forcément celle de votre parcours universitaire mais celle de ce que vous aimeriez faire. Avez-vous une idée de cela ?
 
Autre questionnement utile : que savez-vous faire ? Au delà de vos connaissances, quels sont vos savoir-faire ? Ceux que vous pourriez mobiliser dans le cadre d'un travail ? Si vous savez écrire par exemple (quelles langues ?), ne pouvez-vous pas envisager par exemple une carrière journalistique ?
 
En synthèse : vous vous questionnez sur le sens et les débouchés de votre parcours universitaire > Prenez un autre angle de réflexion et posez-vous les questions de l'envie et des compétences.

 

Si vous sentez le besoin de vous faire accompagner dans ce questionnement actif (càd tourné vers des métiers concrets), faites appel à l'association des anciens de votre IEP. Vous pourrez aussi rencontrer des professionnels (parrains) et discuter avec eux de votre orientation.
 
Bon courage dans vos démarches Madame, gardez surtout confiance en vous et tenez bon le cap.

 
Bien sincèrement,
Gilles Payet

Comment retenir l'attention d'un recruteur sur mon CV ?

  

Votre question :

  

Bonjour Monsieur Payet,

Ma meilleure amie Isaure est actuellement en recherche d'emploi. Vous avez apporté des modifications sur sa lettre de motivation et nous vous en remercions.

 

Je me permets de vous solliciter à nouveau pour son Curriculum Vitae, que vous trouverez en pièce jointe. Qu'en pensez-vous? Que suggérez-vous pour l'améliorer et surtout pour qu'il retienne toute l'attention du recruteur ?

Merci.

Cordialement,

Virginie

  

Ma réponse :

  

Bonjour Madame,
Isaure peut simplifier la présentation de son CV comme suit :
 
- supprimer les mentions "terminale littéraire et brevet des collèges" avant le Bac
 
- regrouper les stages "stagiaires éducatrice" - l'ensemble sera + lisible :
 
De septembre 2008 à juin 2009 : Stagiaire éducatrice

 

- Association Départementale APAJH du xx / Foyer Occupationnel xxx à xxx

- Etablissement Public De Soins, d’Adaptation et d’Education. / Foyer de l’Enfance de xxx

- Association Départementale APAJH du xxx / Foyer « xxx » à xxx

  

- simplifier le bloc adresse :
 

Isaure xxx

52, rue de Vernat

1 cité Caillol - xx540 xxx

Tel : 06.xx.xx.xx.xx

26 ans, Célibataire

Quid absence d’adresse mail ? Celle-ci est indispensable…

- IMPORTANT : créer une accroche en haut à droite qui résume son offre de compétences : que sait-elle faire ? Que propose-t-elle de faire ? Quel est son projet ? etc. Ces compétences peuvent aussi être décrites brièvement dans le descriptif des expériences pros = principal point faible du CV.
 
Voilà pour l’essentiel.

 

S'il elle veut creuser ces pistes et améliorer encore l'efficacité de son CV (lisibilité, exemples d'accroche, modèles de CV "avant-après"...) elle peut se procurer le livre que j'ai écrit sur les CV - cliquez ici pour voir le livre sur les CV, et son contenu.
 
Bon courage à Isaure dans son travail de réécriture !
Gilles Payet